Pourquoi se taire face à une telle situation ?
Ces articles me révoltent.
1. Et si on s'intéressait aux vrais problèmes de la communauté ?
2. http://ugf2005.online.fr
3. Réaction à des propos recueillis sur un site concurrent
J’avais gardé le silence pour ne pas ouvrir des débats schizophrènes, mais j’ai enfin décidé de parler pour limiter les désenchantements.
La phrase qui m’a fait sortir de mon silence est celle publiée dans l’article
Réaction à des propos recueillis
sur un site concurrent par le cousin Ahmed HAMIDOU:
«A ne pas oublier que demain nous aurons tous à rendre
des comptes devant Dieu».
Que chacun(e) écrive cette phrase sur un petit papier blanc avec du stylo rouge, puis l’affiche sur le mur de sa salle de bain pour la lire
chaque matin avant de sortir pour aller travailler, étudier ou autre et qu'on puisse s'en souvenir pendant sa journée! Bravo!
Arrêtons de palabrer! Arrêtons de chanter! Arrêtons de dire n’importe quoi!
1. Et si on s'intéressait aux vrais problèmes de la communauté ?
Commençant par l'article ci-dessus de notre ami Mohamed HASSANI, j’ai noté trois points essentiels :
- Le point numéro un concerne nos diplômés sans ressources, parce qu’il n’est pas facile d’accéder à l’emploi sans la politique.
L’auteur de l’article dit: «Pour les diplômés, pour obtenir un travail aux Comores, il faudra faire preuve de persévérance, de dynamisme,
et maîtriser l'aspect politique du pays. Ce qui n'est pas évident pour l'ensemble de nos diplômés; car chaque personne développe sa propre personnalité.»
Alors, cher ami, comment et quand veux tu que cela change alors que nos diplômés des pays européens, une fois arrivés au bout de leurs études, font le choix
d’y rester pour l’immigration choisie de Nicolas Sarkozy? Il a fallu se battre 27 ans pour que ça change en une journée. C’est ce qu’a fait Nelson Mandela de
l’Afrique du Sud de 1967 à 1990 pour libérer son pays le 11 février 1994, Patrice Lumumba du Congo Belge, Kwame Nkrumah du Ghana, Malcolm X et Martin Luther
King des Etats-Unis d’Amérique, Mahatma Gandhi de l’Inde, Voltaire et Rousseau de la France et j’en passe.
Une fois ces figures africaines arrivées au terme de leurs études, elles sont rentréss dans leurs pays respectifs pour leurs devoirs économique, social et
politique; car elles savaient ce que dit Ahmed HAMIDOU dans son article
«A ne pas oublier que demain nous aurons tous à rendre
des comptes devant Dieu».
Tu ne peux pas être en Europe et prétendre un changement miraculeux dans ton pays. Jamais, plus de miracle, c’est parti avec le prophète Muhammad (paix et
bénédictions sur lui). Il est encore vrai, comme tu dis, que «chaque personne développe sa propre personnalité», car nous l’avons vécu. J'en témoigne.
Depuis 2007, les étudiants gnadomboéniens, d’Europe comme d’Afrique, ont commencé à envisager le choix du retour y compris toi. Nous avons enregistré
8 diplômés dont une femme et sept hommes mais aussi 9 diplômés de l’Université des Comores. En tout, sur 17 diplômés, seule une personne revenant du Soudan
a été régularisé parce qu’une personnalité proche de lui est un grand politicien, il est donc intervenu pour sa régularisation.
Combien de chauffeurs nous en avons au village alors que seulement une seule personne est recrutée à Comores Telecom car son oncle, la même personnalité
politique, est à nouveau intervenu pour son recrutement? Moi-même, auteur de cet article, témoigne d’une telle situation de mauvaise foi lorsqu'en 1996,
j’ai été l’auteur d’un tract qui a conduit une délégation de Gnadomboéni à rencontrer le feu Président Mohamed Taki (Paix à son âme). Suite à cela, des
discussions ont mené cette personnalité politique du village à être nommé Chargé de mission à la Présidence auprès des pays arabo-musulmans, point de
départ de sa personnalité publique. Dans ce cas, dirais-je, tu as raison de dire que «chaque personne développe sa propre personnalité». Mais, tu as tort
car tu ne pourras pas être en Europe et changer une situation pareille aux Comores.
- Quant au point numéro deux, s’agissant de nos agriculteurs qui n’ont pas les moyens pour se développer, cela est vrai. Mais je te retourne toujours la
flèche pour te dire que cela ne changera pas avec ces cultivateurs analphabètes. En effet, avec les nouvelles technologies de notre époque, ils ont besoin
d'Hommes spécialisés en la matière. Où sont-ils ces Hommes? Ils sont presque tous en Europe.
A l’heure où je parle, j’ai déjà mis en rédaction un article parlant d’une route tracée depuis Ilaweni jusqu’au Mahuwu financée par des fonds villageois.
Cela facilitera le passage des récoltes par des moyens de transport modernes. C’est un pas en avant. Je te dis, cher ami, que cela est l’œuvre de l’un des
diplômés du village, entre autre, rentré en 2007 après ses études en Europe. Juste après son retour aux Comores, avec son apprenti, Monsieur Madjlisse Athoumani Ali Mbamba,
ils visitaient les agriculteurs sur place au Mahuwu pour qu’ils leur parlent de leurs problèmes, des souhaits. D’où l’initiative avec Hamidou MLAMALI (Radio) et Adinane
MOHAMED, de préparer un dossier pour le tracement de cette route. Chose dite, chose faite. Demain, les agriculteurs du village ne souffriront plus du transport par
la tête, s’ils ont des voitures. A l’époque, les Gnadomboéniens me prenaient pour un fou (quelqu'un qui a perdu la cassette); mais aujourd’hui, je reçois des bénédictions.
Toi-même, tu étais là, tu as vecu la situation. La faim vérifie les moyens.
- Le point numéro trois est la remise en cause de la journée de mérite initiée par les diplômés du village.
Ici, l’auteur dit : «Je suis par là convaincu que chaque année, nous obtiendrons des bacheliers. Alors, accordons un rêve à notre nouvelle génération, peut être les études
universitaires voir même la Recherche scientifique. Nous pouvons organiser à la place de la journée de mérite, un atelier de fin d'année qui peut s'articuler autour de ....».
Je suis d’accord avec toi, et je te remercie pour la reconnaissance de l’évolution de notre éducation grâce à nos efforts. Revenons un peu en arrière.
Depuis 1992, Ahmed Abdou Albada et moi, avons pris l’initiative de créer une association dénommée Union de la Jeunesse pour l’Education de Ngnadomboéni (UJEN). L’objectif étant
d’organiser des cours de soutien à l’époque et de développer des activités culturelles. Je pense qu’aujourd’hui, nous ne le regrettons pas, car notre encadrement a commencé par
la génération Younoussa Mahamoud, Assoumani Abdou Abdou, Ibrahim Saadi, Farid Boina, Roukia Abdou, Kalathoumi Abdou ali, Anliata Mohamed Taki, puis une deuxième génération
dont toi-même, Hassani Mahamoud, Mohamed Boina, Echata Moustoifa, et pour finir, les générations venues après vous.
Par cette initiation et malgré notre faible population par rapport à nos voisins, et par notre courage, aujourd’hui, nous avons des diplômés au village et des intellectuels
qui s’en sortent bien en France.
Depuis 2007, lorsque nos diplômés ont pris le chemin du retour, nous avons initié la journée de mérite et les résultats progressent. Dieu merci, tu le reconnais toi-même.
Il nous reste à faire maintenant d’autres pas vers l'avant.
Dès l’arrivé de notre jeune docteur en chariat, SAID AHMED SAID MOHAMED, il nous a réuni et nous a parlé de l’organisation d’une journée d’orientation plutôt qu’une journée de mérite.
Nous sommes tout à fait d’accord. D’ailleurs, nous l’avons commencée l’année dernière lors de la journée de mérite. Nous avons organisé une semaine culturelle avec une conférence débat
qui a eu lieu en présence du docteur et ministre Abdourahim SAID BACAR, du docteur Abdoulhakim de Mbéni et du président de l’UGF Charif SAID HARIRI.
Le débat était orienté sur le devenir des étudiants en fin d’étude.
Je pense que petit à petit l’oiseau construit son nid. On ne vole que de ses propres ailes. Reste à avoir une relève pour que nous, autres, puissions passer de cette étape d’encadrement
éducatif à l’étape politique, aux besoins de répondre au premier point de ton article.
Mais où sont-ils ces gens là qui prendront la relève alors que vous êtes tous en France et ceux qui sont ici en rêvent?
Pour clore ce qui est de ton article, tu écrivais vers la fin : «Alors, abordons des thèmes importants pouvant avoir un impact dans le développement durable de notre communauté.
Je ne pense pas que le mariage est le seul événement approprié à enseigner à nos jeunes». Bien mon frère, je pense que ce que tu viens de constater aujourd’hui, a été déjà fait
depuis la création du site. C’est pourquoi, on nous a fait un site avec plusieurs rubriques. On peut y trouver 16 rubriques. Je dis bien 16 rubriques. Les mariages dont tu parles
sont un contenu de la rubrique Carnet. Donc, même ceux qui ne savent pas écrire le français ne sont pas exclus, ils peuvent écrire en arabe ou en comorien. Voir la rubrique Diers et
Shikomori. il s'agit de faire en sorte pour que tout le monde puisse y participer pour le bien de notre pays et de notre village.
Je ne pense pas, sauf si je me trompe, auquel cas notre administrateur pourra me corriger, qu'il y ait un Gnadomboénien qui a écrit sur un des 16 rubriques et que l'administrateur
l’ait rejeté en faveur de ceux qui rédigent pour les mariages. Je dis bien que le choix est libre. Tu peux écrire sur l’éducatif, comme sur la santé, sur l’actualité, sur
les activités comme sur Carnet et les autres. Ceux qui écrivent sur le mariage, l’éducation et à vos plumes, le font à limitation de leur capacité de communication.
Si toi ou un autre veut écrire sur une autre rubrique, personne ne vous empêchera ou dites nous si vous avez envoyé des articles qui n'ont pas été publiés, car dans ce cas,
notre administrateur aura des comptes à rendre.
2. http://ugf2005.online.fr
Pour ce qui est du blog concurrent comme le désigne Ahmed HAMIDOU dans son article, je suis mieux placé pour intervenir; car il est clair que si toi, Ahmed, tu ne connais pas
l’administrateur du blog, demande le moi et je te dirai de qui il s'agit.
J’étais là en 2005, dans le 18ème arrondissement de Paris, quand l’idée nous est parvenue de créer un site pour l’UGF. La maquette, je l’ai vue depuis 2005. Mais que s’est il
passé par la suite ? Après avoir vu la maquette, on l’a enregistrée dans un bel ordinateur ou dans une clé USB pour décoration.
Ensuite, début 2006, à Evry, j’ai rencontré l’administrateur du site
gnadomboeni.com. Nous avons discuté de l’idée de créer un site pour l’UGF. A la suite de notre discussion,
nous sommes arrivés au terme de cette création tenant malgré la crainte de ne pas trouver des rédacteurs.
Quand je suis rentré au pays en 2007, après quelques mois de mon arrivée, le site
gnadomboeni.com a vu le jour. Depuis, les jeunes gnadomboéniens de France, des Comores et
d’ailleurs s’y rencontrent pour des échanges éducatives, culturelles, et cultuelles. C’est comme ça qu'a vu le jour le site
gnadomboeni.com.
Quelque soit sa richesse ou sa pauvreté, des efforts ont été fournis.
Pour ce qui est du blog ugf2005.online.fr, je reviendrai sur les messages erronés et sur le conflit dont on a souligné dans ce blog et dans l’article d’Ahmed HAMIDOU, mais permettez
moi d’abord, de vous dire du fond de mon cœur que si le blog ugf2005.online.fr a attendu jusqu’en mai 2010 pour être lancé, selon les messages erronés dont on parle, c'est parce que
l’administrateur se sert du conflit pour exprimer sa position vis-à-vis du conflit. D’ailleurs, il ne l’a pas caché dans ses messages erronés. J’en reviendrai.
Analysons les messages erronés du blog ugf2005.online.fr
- Dans l’article "La communauté de Gnadomboéni en France", il écrivait que "l’UGF est créée dans les années 80". C’est faux. L’UGF est créée après l’UJEN, l’UJEN qui a vu le jour
en Août 1994. Quant à l’UGF, elle est créée par MOIRAB entre autre quand il a quitté Marseille pour venir habiter à Paris. Les comoriens de Gnadomboéni à Paris n’avaient aucune
organisation. Il a fallu que MOIRAB vienne à Paris pour anticiper une telle organisation. Réfère toi des Statuts de l’UGF et tu verras que ces derniers ne datent pas des années 80.
Il faut faire la différence entre la communauté gnadomboénienne de France et l’Association UGF.
Pourquoi l’auteur de cet article ne l’avait pas envoyé à l'administrateur du site
gnadomboéni.com pour compléter le discours du président Charif en éclaircissant l’objectif de
l’association; mais il a attendu aujourd’hui pour le faire? Moi, j’ai compris qu’il le fait aujourd’hui pour signaler qu’il fait parti de l’un des deux groupes en conflit.
Désolé, mais ce blog ne complète pas le site
gnadomboeni.com mais le concurrence comme disait notre cousin Ahmed HAMIDOU.
- Dans l’article «Note sur ce site internet», l’auteur du message écrivait «Le site n’a pas pour vocation de mettre en ligne des articles futiles sur qui s’est marié, ou, quand et pourquoi,
qui a eu son bébé etc... ( il y a des blogs pour ça). Mais plutôt d’informer une population qui a besoin de savoir où elle en est, guider le mieux possible, proposer des articles concernant
les projets au village, réflexion sur l’avenir du village, publier les annonces d’AG de l’UGF ainsi qu’un rapport pertinent de ce qu’il ressort des réunions». Je ne pense pas que l’auteur
de cet article écrivait ce message avec foi, car bien que je connaisse l’administrateur de ce blog, parlant de l’historique, il se contrarie lui-même. En 2001, quand je suis arrivé en France,
à l’initiative de certains jeunes comme moi, Chakira, Hassani Ahamada, Thomas, sommes réunis pour encadrer la jeunesse, en vue d’organiser notre Madjlisse du 30 décembre 2001.
Malgré toutes les complications que nous avons rencontrées par la notabilité du village, tous les jeunes Gnadomboéniens de France, nés là bas ou aux Comores, prennaient part aux répétions et
aux réunions d’organisations (Zainoudine, Ahmed, Dahalane, Misbahou, Tadji, Nassurdine, Mbaé, Dini, Omar, ...) sauf lui. Il était le seul Jeune de Gnadomboéni que je n’ai jamais vu dans les
répétitions. Pourtant, nous l’avons organisé et réalisé le 30 décembre 2001.
Par la suite, la Section Jeunesse de l’UGF est née avec différentes activités éducatives, culturelles et religieuses. Pourtant je ne l’ai jamais vu prendre part à une des activités citées.
Alors, comment prétend–il parler de développement au village? Il disait dans on message que le site
gnadomboeni.com diffuse des messages futiles, parle des mariages, des naissances etc,...
Je lui dis dans ce cas que j’ai eu trois déclarations venant de trois familles différentes en France, comme quoi, je n’ai pas mis en ligne le mariage de leurs enfants, pourquoi je fais dans la
partialité ? Donc, si toi, auteur du message, tu n’es pas content des annonces de mariages, il y a environ plus de 90% de Gnadomboéniens en France et aux Comores qui le sont. Donc, nous
continuerons à publier les messages des mariage et des naissances, comme des résultats des Examens, des Poèmes et autres, que tu le veuilles ou non.
Je pense que tu ne vas pas me dire que ton absence dans les activités de la Jeunesse est due à tes préoccupations individuelles; car beaucoup de jeunes là bas sont beaucoup plus occupés que toi.
En effet, ils travaillent en pensant à leurs familles ici aux Comores, à leurs proches qui sont en Afrique pour les études; pourtant, ils donnent un peu de leur temps pour le développement du village.
- Pour ce qui est de l’article sur l’Historique, Peux-tu te demander pourquoi des chroniqueurs rédigeaient sur
gnadomboeni.com et non sur ugf2005.online.fr ? Simplement, parce que
gnadomboeni.com est lancé alors que ugf2005.online.fr est enregistré pour archive, en attendant qu’il y ait un conflit pour servir l’un des partis.
- Pour finir, quand tu nous parles de la nouvelle équipe, source du conflit, je pense que des mots durs sont utilisés ("a manqué d’honnêteté", "avaient pris la fuite avec la caisse et les documents
de l’association"). Je ne porterai pas de jugement là dessus, mais juste que d’après l’expérience vécue quand j’était en France, je m’expliquerai par des faits concrets, si le projet de la route de
Mabohodjuwu a abouti, c’est parce que le bureau de l’époque (Soulé et Moirab) a réagi comme il le fallait. Si le projet d’une école communautaire a échoué, c’est parce que le bureau de l’époque
(Ibrahim et Nassur) a agi avec lenteur; le projet a donc échoué.
Donc, pour moi, je suis convaincu que pour qu’un projet se réalise, il faut des gens actifs et courageux qui agissent avec rapidité. C’est pourquoi, j'approuve l'action du bureau sortant sur la
construction de la mosquée. S’agissant du bilan, il faut qu’ils le fassent, car les autres bureaux avant eux l'ont fait. J’en témoigne car j’ai été membre du bureau 2002 – 2004 et nous avons fait le bilan
la veille de l’élection du nouveau bureau.
3. Réaction à des propos recueillis sur un site concurrent
Pour finir, pour ce qui est de l’article du cousin Ahmed HAMIDOU intitulé «Réaction par rapport à un site conccurent», il a écrit : «Nous avons toujours été un site des jeunes de Gnadomboéni et continuerons
à l’être. Et donc, en tant que Gnadomboéniens, il est logique que nous donnions des informations sur notre village, en plaisent ou en déplaisent à certains».
Très bien, j’aime des jeunes sérieux comme toi, qui s’affirment. Que ça plaisent ou déplaisent, c’est notre choix et nous l’assumerons. Ensuite tu disais : «Mon avis et cela n’engage que moi, cette affirmation
est un mensonge. En premier lieu pourquoi ne pas envoyer d’articles sur le site
gnadomboeni.com pour le compléter ce qui n’a jamais été le cas, j’en suis certain». La réponse est simple, je l’ai déjà dit
et tu l’affirmes: Ce blog est créé pour qu’il serve, un jour, à une situation pareille. Voilà arrivée, voilà servie.
Pour conclure, tu nous as fait une leçon de moral et religieuse, quand tu écris :
«A ne pas oublier que demain nous aurons tous à rendre des comptes devant Dieu.»
Merci pour ça!
Monsieur Treize, l’infatigable