BONNE ANNEE 2010


Chers internautes, Gnadomboéniens et Gnadomboéniennes,
Bonjour et BONNE ANNEE 2010.

Au nom du bureau de l'UGF, au nom du bureau de l'UGFSJ et à mon nom, nous vous présentons nos meilleurs voeux pour l'année 2010.

Que l'année 2010 soit une année de prospérité, de chance, de bénédiction pour nous et pour les comoriens.

Chers internautes, d'après un petit bilan fait par certains d'entre nous, l'année 2009 était une année de conflits, d'échecs pour le développement de nos villes et villages.
Parmi les problèmes que notre société comorienne rencontre, surtout ici en france, il y a les conflits internes, engendrés par le mépris de certaines catégories de la population, la corruption mais aussi des conflits familiaux.
Ce qui est regrettable, c'est que les Comoriens font de l'intérêt personnel une priorité par rapport à l'intérêt collectif, un phénomène qui a mis les Comores, notamment ma région natale de Hamahamet, dans une situation chaotique.
Pourquoi laissons-nous se développer, dans notre société, des idées destructrices telle que la haine d'autrui ? "Qui sème le vent, récolte la tempête".

Je profite de cette occasion pour présenter mes voeux et ceux de tous les jeunes de Gnadomboéni en France à notre correspondant aux Comores, notre frère Mohamed SAID HASSANE (Treize) et à tous les Gnadomboéniens, qu'ils soient aux Comores ou ailleurs.
Nous vous souhaitons une bonne et heureuse année 2010 pleine de réussite, de bonheur et d'enfants ambitieux et courageux comme leurs parents.

J'appelle tous les jeunes de Gnadomboéni à être solidaire et à éviter d'être pris au piège, embarquer dans un paquebot qui est entrain de couler. N'oublions pas que l'union fait la force.
En ma qualité de Président de l'UGFSJ, de Sécrétaire de l'UGF, je m'inquiète beaucoup sur l'avenir de notre village, car certains jeunes ont tendance à développer une certaine "haine héréditaire" envers d'autres jeunes. Celà pourra à terme, si rien ne change, mettre en cause notre unité et la solidité de notre mouvement.

Avant de mettre à terme mon intervention, je ne manquerai pas de rendre hommage à notre frère IBRAHINNA Yakoub et à son fils Alfayed qui ont péri dans le crash du 30 juin 2009 au large des Comores, un crash qui restera dans nos mémoires comme étant l'événnement le plus meurtrier de ces dernières années.


Le Président de l'UGFSJ
Younoussa